Rétromobile 2019. Un salon exceptionnel. Tellement exceptionnel que j'en suis ressorti en me disant qu'il y avait trop de voitures ! Comme ces repas avec trop de plats, tous délicieux, mais qui finissent par une indigestion. Il m'a fallu presque 2 mois pour trier les photos. Chaque voiture présentée ici mériterait un article complet. Le choix des photos est très personnel : des voitures qui m'ont marquées ou que j'aime bien, tout simplement. Pas spécialement les modèles phares de cette édition 2019, mais juste celles qui m'ont touchées.
Ma préférée est, une fois n'est pas coutume, une Ferrari : la 288 GTO. Un modèle qui m'a toujours fait craquer, même si je pense que je serai incapable de la conduire correctement. Mais peu importe, si j'avais pu acheter une voiture, ça aurait été celle-là.
Juste après, j'aurais craqué pour la Bentley 6 Gurney Nutting de 1930 : lignes certes classiques mais tellement élégantes.
Chez Aston-Martin, beaucoup de choix, avec notamment une (authentique) DB4 Zagato, une Vantage Le Mans (une sorte de monstre pourtant attirant) et la curieuse Zagato Shooting Brake. A ce stade mon garage virtuel se remplit bien.
Passons au rayon Bugatti. La type 51 vendue aux enchères était magnifique (même si trop loin). On avait beaucoup (enfin tout est relatif) de EB110, voiture qui semble trouver une certaine légitimité dans la lignée Bugatti qu'elle n'avait peut-être pas. La Veyron noire et bleue m'a moins plu.
Retur chez Ferrari, avec 2 Laferrari : la noire était "inphotographiable" correctement, la grise passait un peu mieux. Finalement, je la préfère rouge, mais il n'y en avait pas !
Parmi les petites voitures, la Fiat 508 S Balilla Aerodinamica des Mille Miglia de 1935 était splendide.
Parmi l'exceptionnel, il y avait bien sûr ce plateau incroyable Lancia Stratos et celui tout aussi exceptionnel de Lamborghini Miura. Je n'en avais jamais vu autant d'un coup.
Chez Mercedes il y avait de beaux modèles (voiture de la Targa Florio de 1922, monstrueuses CLK-GTR et spledides 300 SL (qui ont l'air trop "neuves" parfois). Et puis il y avait du moins beau comme la SLR Stirling Moss que j'ai trouvée particulièrement laide.
Un petit regret avec la Peugeot WM du Mans 1988, détentrice du record de vitesse en course, qui était particulièrement mal présentée. Dommage pour un modèle important.

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